Le contre-la-montre n’est pas une course. C’est une bataille entre les volontés des coureurs, entre la volonté et les pieds de chaque coureur. C’est une opportunité à voir qui peut se motiver le meilleur. Mais un contre-la-montre est court, et c’est individuel. Bien que j’aime la contre-la-montre, je préfère voir les tactiques et la rivalité directe de la course en ligne. Et quand c’est les meilleurs coureurs du monde qui rivalisent pour le prix du maillot arc-en-ciel, c’est la plus meilleure rivalité du monde.
En la première année de la catégorie «Junior», rien spectaculaire n’est venu de la course des femmes juniors. Peut-être l’année prochaine, vainqueur Lucy Garner de Grande-Bretagne rivalisera dans la course des femmes élites ou gagnera une course pro, mais à ce moment-là, les noms de ces femmes ne sont pas familiers. Ce n’est pas vrai pour les femmes élites. En effet, ils sont très familiers, car Georgia Bronzini, d’Italie, et Marianne Vos, du Pays-Bas, se sont placées première et deuxième l’année dernière aussi! Cette année, Ina Teutenberg, d’Allemagne, a complété le trio sur le podium. Un résultat un peu étrange, peut-être, mais c’est très clair qui est la meilleur coureuse dans le peloton féminin.
Les hommes juniors n’ont pas des noms familiers. Ces hommes ont moins de 18 ans, et bien que les hommes ne fassent rien remarquable maintenant, ils sont le futur des courses comme le Tour de France. Donc, sur cette note, faire le guet pour Pierre-Henri Lecuisinier, Martijn Degreve et Steven Lammertink, qui ont gagné les trois places premières avec trois seconds sur les autres coureurs. Et, de façon intéressante, malgré ses bons résultats dans les contre-la-montres, les australiens ne font pas très bien dans les courses en ligne. Même dans les hommes moins de 23 ans, australien Michael Hepburn s’est placé 21ème, et France a gagné les deux places premières et Grande-Bretagne le troisième.
«Garder le meilleur pour la fin» est le proverbe, et l’UCI le fait certainement dans les Championnats du Monde. La course plus intéressante, la plus fortement disputé, c’est la course en ligne des hommes élites, qui est toujours en le dernier jour des Championnats. La course cette année a été décrit par les coureurs comme totalement plat avec plusieurs tours et pas de cols, les conditions parfaites pour un sprint du groupe.
Mais malgré le type de course, il y avait une échappée, quand Lars Boom de Pays-Bas a échappé du peloton et fait la course seulement pour beaucoup de kilomètres. Mais les pays qui ont des bons sprinteurs ne l’a pas permis. En les derniers tours de piste le peloton a attrapé Boom pour avoir une possibilité d’un sprint à la fin. Et bien sûr, il y avait un bon sprint, avec l’équipe australien faisant beaucoup de travail pour son sprinteur, Matt Goss. Même les Brits avec son sprinteur, le porteur du maillot vert du Tour de France, Mark Cavendish, ne peuvent pas préparer son train de sprint. Mais quand «le missile Manx» a les pieds, le missile Manx a les pieds, et personne ne peut l’arrêter. Il a sprinté de la roue arrière de Goss, qui s’est placé deuxième, et gagné son premier titre mondial.
En la première année de la catégorie «Junior», rien spectaculaire n’est venu de la course des femmes juniors. Peut-être l’année prochaine, vainqueur Lucy Garner de Grande-Bretagne rivalisera dans la course des femmes élites ou gagnera une course pro, mais à ce moment-là, les noms de ces femmes ne sont pas familiers. Ce n’est pas vrai pour les femmes élites. En effet, ils sont très familiers, car Georgia Bronzini, d’Italie, et Marianne Vos, du Pays-Bas, se sont placées première et deuxième l’année dernière aussi! Cette année, Ina Teutenberg, d’Allemagne, a complété le trio sur le podium. Un résultat un peu étrange, peut-être, mais c’est très clair qui est la meilleur coureuse dans le peloton féminin.
Les hommes juniors n’ont pas des noms familiers. Ces hommes ont moins de 18 ans, et bien que les hommes ne fassent rien remarquable maintenant, ils sont le futur des courses comme le Tour de France. Donc, sur cette note, faire le guet pour Pierre-Henri Lecuisinier, Martijn Degreve et Steven Lammertink, qui ont gagné les trois places premières avec trois seconds sur les autres coureurs. Et, de façon intéressante, malgré ses bons résultats dans les contre-la-montres, les australiens ne font pas très bien dans les courses en ligne. Même dans les hommes moins de 23 ans, australien Michael Hepburn s’est placé 21ème, et France a gagné les deux places premières et Grande-Bretagne le troisième.
«Garder le meilleur pour la fin» est le proverbe, et l’UCI le fait certainement dans les Championnats du Monde. La course plus intéressante, la plus fortement disputé, c’est la course en ligne des hommes élites, qui est toujours en le dernier jour des Championnats. La course cette année a été décrit par les coureurs comme totalement plat avec plusieurs tours et pas de cols, les conditions parfaites pour un sprint du groupe.
Mais malgré le type de course, il y avait une échappée, quand Lars Boom de Pays-Bas a échappé du peloton et fait la course seulement pour beaucoup de kilomètres. Mais les pays qui ont des bons sprinteurs ne l’a pas permis. En les derniers tours de piste le peloton a attrapé Boom pour avoir une possibilité d’un sprint à la fin. Et bien sûr, il y avait un bon sprint, avec l’équipe australien faisant beaucoup de travail pour son sprinteur, Matt Goss. Même les Brits avec son sprinteur, le porteur du maillot vert du Tour de France, Mark Cavendish, ne peuvent pas préparer son train de sprint. Mais quand «le missile Manx» a les pieds, le missile Manx a les pieds, et personne ne peut l’arrêter. Il a sprinté de la roue arrière de Goss, qui s’est placé deuxième, et gagné son premier titre mondial.
Mais le drame n’a pas terminé là. Il y avait une égalité pour troisieme place! Fabian Cancellara, champion suisse en ligne, et Andre Greipel, le sprinteur allemand, ont traversé l’arrivée au même temps exactement! Après quelques minutes, le médaille bronze a été attribué à Andre Greipel, et Cancellara s’est placé quatrième. Avec cette fin du Championnats, j’attends avec impatience les Championnats 2012 à Limburg, Pays-Bas!